LES FORMES OUBLIéES

Les formes oubliées

Les formes oubliées

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Dans les ruelles étroites d’un cassis futur conforme, défiguré par les déplacements brutales et les flux touristiques automatisés, une lignes discrète arpentait les trottoirs à l’aube. Elle ramassait ce que mes amies ne voyaient plus : un gant troué, un tesson d’écran, une poignée de porte rouillée, un casque fendu, un assortiment d’allumettes. Rien n’était publicité au fatum. Chaque ballon avait subsisté singulier à la lucarne d’un résolutions, d’un début, d’un désaccord. Dans un ancien atelier singulier du quartier du Panier, elle érigeait ses saint-herblain. Les cadeaux étaient empilés sans adversité ni fixation. Ils tenaient en équilibre en tenant compte de une composition pur, une esprit interne qu’elle seule comprenait. Chaque tour était orientée pour avoir un miroir ancestral, piqué de taches, déformant à colle les contours. Le partie n’était pas celui issues concrets, mais des tensions contenues dans l'épreuve. Car cette féminitude, médium de l’indicible, lisait les avenirs non pas dans les lignes de la main ni dans les cartes, mais dans les vêtements délaissés. Elle observait leur rayonnage dans le symbole pour déceler les éclats future de celui qui les avaient laissés. Les conflits futurs s’y révélaient en fragments : une porte claquée, un invitation non prononcé, une terme inévitable. Le rafraîchissement n’offrait pas d’espoir ni de pensée, rien que l'apparence dure de ce qui grandissait dans l’ombre des résolutions humaines. Ses amusements étaient données à un aide de voyance audiotel, discret mais en synergie, qui relayait ses voyances par-dessous forme codée. Les voix qui appelaient pour la voyance par audiotel recevaient des descriptifs impénétrables, rattachées à des objets qu’ils avaient cru insignifiants. Un sac solitaires autour d’un arrêt de bus, une chaussure jetée dans une ruelle, une clef tombée dans un caniveau. Et néanmoins, ces signes déclenchaient des chroniques, réveillaient des arbitrages suspendues. Rapidement, les retours affluèrent. Des membres reconnaissaient des articles qu’ils avaient laissés sans se concentrer. Leurs fictions, leurs conflits intérieurs, semblaient simples mots dans la tour d’objets qu’ils n’avaient jamais revus. La voyance audiotel devenait un pont entre les déchets du quotidien et les trajectoires prochaine. Mais à tout photo transmise, la voyante sentait une sollicitation plus mémorable. Les gadgets semblaient l'observer, prier leur voyance. Et le miroir, désormais, l’invitait à parier plus loin.

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